The Letter, film familial captivant, se distingue par son rythme doux. Alors que Karisa jongle entre ses oncles et tantes en conflit et son amour pour sa grand-mère, « Grandma » et son esprit intrépide doivent surmonter le danger imminent des accusations qui pèsent sur elle. Le film explore la division des biens après la mort d’un aîné, mêlant traditions ancestrales et influences occidentales, tout en mettant en lumière la résilience de la famille et le pouvoir discret des femmes. La metteuse en scène Maia Lekow, également musicienne itinérante kényane de renom, a composé une partition originale qui explore la complexité émotionnelle de la situation familial. Ses riches textures vocales agissent comme un gardien spirituel pour la grand-mère et les autres aînés en danger, tout en apportant un magnétisme musical qui transporte le public.

Karisa’s city-life is interrupted when his Grandma back home is called a witch. Travelling home to investigate, he finds a frenzied mix of consumerism and Christianity is turning hundreds of families against their land-owning elders.