Khodor, un adolescent palestinien, grandit sans pièce d’identité dans le camp de réfugié·es de Shatila à Beyrouth. Il est apatride et incapable d’obtenir une éducation, des soins de santé ou de quitter le camp. En suivant Khodor de 14 à 18 ans, nous comprenons qu’il est plutôt cool et détendu devant ses ami·es. Cependant, à la maison, sa famille ressent l’agressivité qu’il refoule en raison de sa situation. Il vit avec sa belle-mère, qui se bat depuis des années avec ses demi-sœurs pour lui obtenir une carte d’identité qui lui donnera le droit de vivre au Liban. Dans la lutte pour obtenir cette citoyenneté, des secrets de famille déchirants sont révélés. Son of the Streets démontre comment le rêve de Khodor de mener une vie autonome se heurte à des lois obsolètes, le laissant à la croisée des chemins entre avoir une nationalité et des droits ou rester pour toujours dans les camps dans lesquels règnent la criminalité et la drogue.

Our film exposes the widespread issue of statelessness through the story of Khodor, showcasing its local and global impact. By leveraging the film as a tool for awareness, we aim to inspire action both locally and internationally, urging individuals to advocate for change and support initiatives addressing the rights of stateless individuals.