De Garry Keane

This is a Quiet Love

Image du film This is a Quiet Love - FIFDH 2024

Quatre couples sourds signent l’histoire de leur amour. Ensemble, ces lettres d’amour cinématographiques tissent une tapisserie de l’expérience des personnes malentendantes sur une période de 70 ans, tandis qu’un paysage sonore immersif remet en question la perception du son chez le·la spectateur·rice. Un couple sourd de religion mixte dont l’histoire d’amour a survécu à des décennies de préjugés et à la détermination de leurs familles à les séparer ; un boxeur sourd et sa partenaire entendante confronté·es à une décision difficile; un couple LGBTQIA+ sourd tombé amoureux dans un pays où le mariage entre personnes de même sexe était illégal ; et un homme entendant et une femme sourde qui ont trouvé l’amour contre toute attente. Produite par une équipe composée de personnes sourdes et entendantes, cette mosaïque d’expériences des personnes sourdes, réalisée par Garry Keane, réalisateur sélectionné pour Sundance et les Oscars, offre au public un point de départ familier – l’amour – pour aborder les thèmes de la discrimination, de l’accès, de la privation de la langue et des conflits, tels qu’ils sont vécus par les acteur·rices sourd·es.

Pays : Irlande, Royaume-Uni
Langues originales : langue des signes, anglais
Thématiques spécifiques : Inequality, Inclusion
Réalisation
Garry Keane (Irlande)
Production
Anne Heffernan (Irlande)
Sean Herlihy (Irlande)
Curious North Productions Ltd.
Durée
90'
Statut de production
Dernière phase de développement
Finalisé en
Septembre 2024
Impact Statement
This is a Quiet Love aims to transform misconceptions about the Deaf community by authentically representing their experiences, while supporting training and employment for Deaf filmmakers. Allowing audiences a rare window into this largely hidden community can foster empathy, understanding and generate critical discussion around the message that societal barriers and attitudes create more challenges for Deaf people than their physical deafness. Deaf communities, even in many first world countries, have not had their sign languages officially recognised, meaning there is no legal requirement to ensure access to education, healthcare, the legal system or employment in sign language. This inequality is exacerbated by the lack of representation of Deaf people in the media, while Deaf filmmakers continue to be excluded from our industry.